A Night at the Opera with Rolando Villazón
George Frideric Handel, Tamerlano: Ciel e terra armi di sdegno (Bajazet)
Wolfgang Amadeus Mozart, Il rè pastore: Voi che fausti (Alessandro)
Wolfgang Amadeus Mozart, Le nozze di Figaro: Ouverture
Joseph Haydn, L’anima del filosofo, ossia Orfeo ed Euridice: Dov’è quell’alma audace (Orfeo)
Giuseppe Verdi, I vespri siciliani: Sinfonia
Giuseppe Verdi, Romanza No. 4: L’esule (arr. Luciano Berio)
Jules Massenet, Le dernier sommeil de la Vierge
Jules Massenet, Le Cid: Ah tout es bien fini (Rodrigue)
Jacques Offenbach, Les contes d’Hoffmann: Va pour Kleinzach (Hoffmann)
Jacques Offenbach, Orphée aux enfers: Ouverture
Reveriano Soutullo & Juan Vert, La del Soto del Parral: Ya mis horas felices (Germán)
Ruperto Chapí, La revoltosa: Preludio
Francesco Paolo Tosti, L’ideal
Francesco Paolo Tosti, L’alba separa dalla luce l’ombra
La star franco-mexicaine de l’opéra Rolando Villazón enchante le public du monde entier avec sa maîtrise vocale phénoménale et son charisme hors catégorie. Connu comme « le plus charmant des divos de notre époque » (The Times), avec « une voix merveilleusement virile... grandezza, élégance et puissance » (S üddeutsche Zeitung), Villazón est l’un des artistes les plus polyvalents d’aujourd’hui.
Rolando Villazón a percé en 2005 dans le rôle d’Alfredo, aux côtés d’Anna Netrebko (Violetta) et Thomas Hampson (Germont), dans la mise en scène de La traviata de Willy Decker au Salzburger Festspiele. Dans les années qui ont suivi, il a joué tous les plus grands rôles de ténor, notamment au Wiener Staatsoper, à l’Opéra national de Paris, au Metropolitan Opera à New York et à La Scala de Milan. Partout, il est devenu l’un des chouchous du public.
En tant qu’intendant de la Mozartwoche, il se consacre ces derniers temps surtout à Mozart, tant sur scène qu’en coulisses. Son dernier rôle ? L’oiseleur Papageno (La Flûte enchantée) au Metropolitan Opera de New York !
Guerassim Voronkov, chef d'orchestre
Rolando Villazón, ténor
