Le percussionniste Colin Currie interprète les concertos pour percussion de Wolfe et Andriessen. Gershwin et Pärt complètent ce concert audacieux.
Le temps d’une soirée, la percussion reprend ses droits avec pas moins de deux concertos pour percussions. Colin Currie est mis à l’honneur dans Body Language de Julia Wolfe et Tapdance de Louis Andriessen, alternant entre le marimba, les timbales, le clapping et bien d’autres instruments. Ces pièces aux sonorités et aux rythmes surprenants vous invitent à découvrir l’orchestre symphonique sous de nouvelles coutures. Découvrez l'interview de Colin Currie écrite par nos confrères de l'OPRL.
Aux côtés de ces concertos, Fratres d’Arvo Pärt place les cordes et les percussions dans un échange méditatif plein de simplicité.
Avec la suite Catfish Row, reprenant les thèmes du célèbre opéra Porgy and Bess de Gerswhin, l’orchestre se retrouve au complet pour exécuter l’une des meilleures rencontres entre le jazz et la musique classique.
Merci aux joueurs de la Loterie Nationale et au Tax Shelter du Gouvernement fédéral de Belgique via Casa Kafka Pictures.
Enrichissez votre expérience au-delà du concert avec une introduction ! Cette dernière commence à 19h00 et est gratuite sur présentation de votre ticket de concert.
La musique et l’activisme climatique se rencontrent le temps d’un concert dédié à la mise en musique de la nature, entre Smetana, Sibelius et Say.
La chanteuse Véronique Gens nous livre les élégantes Nuits d’été de Berlioz, en première partie de la massive Cinquième symphonie de Mahler.
L’oratorio Fire In My Mouth de Julia Wolfe donne voix aux 146 personnes décédées dans une usine de vêtements, pour un concert commémoratif émouvant.
Au Klarafestival, le chiffre 8 devient symbole d’infini durant cette soirée musicale dans les pas de Beethoven.
