La Sixième Symphonie de Tchaikovsky et Harold en Italie de Berlioz se succèdent dans ce concert plein d’émotions, dirigé par Eva Ollikainen.
Dans ce programme intense et bouleversant se succèdent deux des plus fascinantes œuvres symphoniques du XIXe siècle. Harold en Italie, à mi-chemin entre symphonie et concerto, narre un voyage poétique dans les Abruzzes en Italie, à travers le chant de l’alto solo, interprété par Antoine Tamestit. Dans ce poème symphonique, Berlioz s’inspire du Pèlerinage de Childe Harold, long poème de Lord Byron, et transmet ces sentiments d’admiration et de questionnement face à la nature, en accordant à l’alto solo un rôle central et polyvalent.
La Sixième Symphonie de Tchaikovsky, la dernière du compositeur, répond par son jeu sur le clair-obscur. Il s’agit de l’une des œuvres les plus poignantes du répertoire, l’une des seules qui finit par un mouvement lent.
Réalisé avec le soutien du Tax Shelter du Gouvernement Fédéral Belge via Casa Kafka Pictures.